Bienvenue à la Galerie Dior !
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Depuis toujours au sein de la maison Dior, les jardins tissent un fil d’Ariane entre les lieux, les époques, les territoires d’expression et de création.
« Je dessinai des femmes-fleurs, épaules douces, bustes épanouis, tailles fines comme lianes et jupes larges comme corolles. »
L’amour de Monsieur Dior pour la nature naît dès son enfance, en Normandie, dans la maison familiale Les Rhumbs.
Devenu couturier, Christian Dior esquisse ainsi, dès sa première collection, la silhouette d’une femme-fleur sublimée par la ligne Corolle, « dansante, très juponnante », précise le communiqué de 1947. Boutons de roses ou clochettes de muguet éclosent sur ses modèles en de somptueuses broderies ou imprimés poétiques.
Une esthétique florale passionnément cultivée par ses successeurs, d’Yves Saint Laurent à Maria Grazia Chiuri, en passant par Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano et Raf Simons. Une célébration enrichie au fil des saisons et capturée ici par l’artiste japonaise Yuriko Takagi, au gré de tableaux photographiques empreints de grâce et de sensibilité. Mettant en scène des mannequins-ballerines, elle dévoile les créations Dior « dans le mouvement de la vie », selon les mots du couturier-fondateur. À travers ces images oniriques, la délicatesse éphémère du monde végétal est comme suspendue dans l’espace et le temps.
Depuis toujours au sein de la maison Dior, les jardins tissent un fil d’Ariane entre les lieux, les époques, les territoires d’expression et de création.
« Je dessinai des femmes-fleurs, épaules douces, bustes épanouis, tailles fines comme lianes et jupes larges comme corolles. »
L’amour de Monsieur Dior pour la nature naît dès son enfance, en Normandie, dans la maison familiale Les Rhumbs.
Devenu couturier, Christian Dior esquisse ainsi, dès sa première collection, la silhouette d’une femme-fleur sublimée par la ligne Corolle, « dansante, très juponnante », précise le communiqué de 1947. Boutons de roses ou clochettes de muguet éclosent sur ses modèles en de somptueuses broderies ou imprimés poétiques.
Une esthétique florale passionnément cultivée par ses successeurs, d’Yves Saint Laurent à Maria Grazia Chiuri, en passant par Marc Bohan, Gianfranco Ferré, John Galliano et Raf Simons. Une célébration enrichie au fil des saisons et capturée ici par l’artiste japonaise Yuriko Takagi, au gré de tableaux photographiques empreints de grâce et de sensibilité. Mettant en scène des mannequins-ballerines, elle dévoile les créations Dior « dans le mouvement de la vie », selon les mots du couturier-fondateur. À travers ces images oniriques, la délicatesse éphémère du monde végétal est comme suspendue dans l’espace et le temps.
