Bienvenue à la Galerie Dior !

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Poursuivez votre découverte de l'histoire de la maison Dior...
04.1

30, avenue Montaigne

Dès le premier regard, Christian Dior succomba au charme unique de cet hôtel particulier, construit en 1865 par le comte Walewski, fils naturel de Napoléon Ier.

« Il fallait que ce fût 30, avenue Montaigne. Je m'installerai ici et nulle part ailleurs ! »

Un écrin sobre mais raffiné, choisi pour son emplacement, ses proportions modestes et sa façade néoclassique sublimée de volutes et de balcons ouvragés. Il investit sa Maison le 15 décembre 1946, quelques semaines seulement avant le dévoilement de sa première collection, consacrant mondialement le New Look et son style révolutionnaire. Dès lors, cette adresse devint le symbole de l'élégance parisienne, un royaume des rêves où naquirent les icônes Dior, sans cesse réinventées.

Témoin de tant de défilés, le 30, avenue Montaigne, que Christian Dior comparait à une « ruche », est un lieu de mémoire qui a vu d’illustres invités se disputer les marches de son Grand Escalier. Ses alcôves et ses salons ont croisé Grace Kelly, Marlène Dietrich ou Rita Hayworth.

Marlène Dietrich assistant au défilé haute couture printemps-été 1952.

© Association Willy Maywald/ADAGP, Paris 2022

Les petites mains œuvrent aujourd’hui encore dans l’effervescence des ateliers. Ce point cardinal des désirs du couturier et du bonheur de toutes les femmes porte en lui l’esprit d’une Maison qui raconte l’histoire de la mode du XXe siècle autant qu’elle continue d’en écrire les pages.

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30, avenue Montaigne

Dès le premier regard, Christian Dior succomba au charme unique de cet hôtel particulier, construit en 1865 par le comte Walewski, fils naturel de Napoléon Ier.

« Il fallait que ce fût 30, avenue Montaigne. Je m'installerai ici et nulle part ailleurs ! »

Un écrin sobre mais raffiné, choisi pour son emplacement, ses proportions modestes et sa façade néoclassique sublimée de volutes et de balcons ouvragés. Il investit sa Maison le 15 décembre 1946, quelques semaines seulement avant le dévoilement de sa première collection, consacrant mondialement le New Look et son style révolutionnaire. Dès lors, cette adresse devint le symbole de l'élégance parisienne, un royaume des rêves où naquirent les icônes Dior, sans cesse réinventées.

Témoin de tant de défilés, le 30, avenue Montaigne, que Christian Dior comparait à une « ruche », est un lieu de mémoire qui a vu d’illustres invités se disputer les marches de son Grand Escalier. Ses alcôves et ses salons ont croisé Grace Kelly, Marlène Dietrich ou Rita Hayworth.

Marlène Dietrich assistant au défilé haute couture printemps-été 1952.

© Association Willy Maywald/ADAGP, Paris 2022

Les petites mains œuvrent aujourd’hui encore dans l’effervescence des ateliers. Ce point cardinal des désirs du couturier et du bonheur de toutes les femmes porte en lui l’esprit d’une Maison qui raconte l’histoire de la mode du XXe siècle autant qu’elle continue d’en écrire les pages.

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