Bienvenue à la Galerie Dior !
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Tel un essaim virtuose, les petites mains Dior façonnent les robes de leurs gestes minutieux.
« La création, c’est un ensemble de mille et une choses, c’est mille et un métiers qui se groupent autour du couturier. »
Dans le secret des ateliers du 30, avenue Montaigne, les abeilles Dior, réparties entre « flou » et « tailleur », font naître la collection en quelques semaines seulement. Les toiles blanches, précieuses expressions en volume d’un croquis, donnent ensuite vie aux modèles haute couture. Une fois la toile présentée – sur mannequin vivant – et approuvée, le tissu est choisi parmi les centaines de rouleaux, sélectionnés sur échantillons deux mois auparavant, qui ont envahi le studio. En dix jours s’affirment alors les lignes de la collection.
Au croisement de l’art et de ces artisanats d’exception, ces emblématiques toiles sont comme des tableaux vivants, engagés, exprimant les convictions chères à Maria Grazia Chiuri. L’artiste mexicaine Elina Chauvet et un groupe de seize brodeuses ont ainsi apposé leurs mots et symboles, tous cousus de fils rouge, sur ces toiles blanches confectionnées dans les ateliers parisiens. Intitulée A Corazón Abierto – « à cœur ouvert » en espagnol –, cette œuvre inédite, qui dénonce l’invisibilité des femmes victimes de violences, a donné vie à une performance poignante lors de la clôture du défilé Dior Croisière 2024 à Mexico. Une puissance collective retranscrite par les clichés poétiques de la photographe mexicaine Maya Goded.
Tel un essaim virtuose, les petites mains Dior façonnent les robes de leurs gestes minutieux.
« La création, c’est un ensemble de mille et une choses, c’est mille et un métiers qui se groupent autour du couturier. »
Dans le secret des ateliers du 30, avenue Montaigne, les abeilles Dior, réparties entre « flou » et « tailleur », font naître la collection en quelques semaines seulement. Les toiles blanches, précieuses expressions en volume d’un croquis, donnent ensuite vie aux modèles haute couture. Une fois la toile présentée – sur mannequin vivant – et approuvée, le tissu est choisi parmi les centaines de rouleaux, sélectionnés sur échantillons deux mois auparavant, qui ont envahi le studio. En dix jours s’affirment alors les lignes de la collection.
Au croisement de l’art et de ces artisanats d’exception, ces emblématiques toiles sont comme des tableaux vivants, engagés, exprimant les convictions chères à Maria Grazia Chiuri. L’artiste mexicaine Elina Chauvet et un groupe de seize brodeuses ont ainsi apposé leurs mots et symboles, tous cousus de fils rouge, sur ces toiles blanches confectionnées dans les ateliers parisiens. Intitulée A Corazón Abierto – « à cœur ouvert » en espagnol –, cette œuvre inédite, qui dénonce l’invisibilité des femmes victimes de violences, a donné vie à une performance poignante lors de la clôture du défilé Dior Croisière 2024 à Mexico. Une puissance collective retranscrite par les clichés poétiques de la photographe mexicaine Maya Goded.
