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09

L'esprit XVIIIe

Fasciné par l’esprit et le style du XVIIIe siècle, Christian Dior a fait de cette époque un thème récurrent de ses collections, une source d’inspiration entre raffinement et modernité.

« Victor Grandpierre réalisa la boutique minuscule que nous voulions dans la tradition des magasins de frivolité du XVIIIe siècle. »

De sa façade néoclassique aux boiseries dont le blanc se conjugue au gris « Trianon », des fauteuils médaillon au nœud Fontanges – autant de codes Dior iconiques –, l’architecture et la décoration du 30, avenue Montaigne invitent, dès la fondation de la Maison, à un envoûtant voyage dans le temps. Au rez-de-chaussée, la boutique Colifichets, tapissée de toile de Jouy – motif emblématique réinterprété au fil des saisons –, est conçue selon la tradition des magasins de frivolité du XVIIIe siècle.

Aménagement de la boutique Colifichets à l'occasion de la collection haute couture automne-hiver 1950.

© Walter Carone/Paris Match/SCOOP

Ses somptueuses robes, ses bals grandioses, la splendeur du château de Versailles… Ce « siècle des Lumières » n'aura de cesse de rayonner au gré des modèles pensés par Christian Dior et ses successeurs, dessinant une allure nouvelle, empreinte d’une audace revisitée plus encore par les images fantasmagoriques de Katerina Jebb. De ses portraits scanographiques, étrangement semblables aux portraits peints de la Renaissance, émane une extraordinaire opulence qui contraste avec le procédé même de leur création.

Escarpin Versailles, 1960

© Dior Focus/Bryan Zammarchi
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Prochaine salle

10
Le bal Dior
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L'esprit XVIIIe

Fasciné par l’esprit et le style du XVIIIe siècle, Christian Dior a fait de cette époque un thème récurrent de ses collections, une source d’inspiration entre raffinement et modernité.

« Victor Grandpierre réalisa la boutique minuscule que nous voulions dans la tradition des magasins de frivolité du XVIIIe siècle. »

De sa façade néoclassique aux boiseries dont le blanc se conjugue au gris « Trianon », des fauteuils médaillon au nœud Fontanges – autant de codes Dior iconiques –, l’architecture et la décoration du 30, avenue Montaigne invitent, dès la fondation de la Maison, à un envoûtant voyage dans le temps. Au rez-de-chaussée, la boutique Colifichets, tapissée de toile de Jouy – motif emblématique réinterprété au fil des saisons –, est conçue selon la tradition des magasins de frivolité du XVIIIe siècle.

Aménagement de la boutique Colifichets à l'occasion de la collection haute couture automne-hiver 1950.

© Walter Carone/Paris Match/SCOOP

Ses somptueuses robes, ses bals grandioses, la splendeur du château de Versailles… Ce « siècle des Lumières » n'aura de cesse de rayonner au gré des modèles pensés par Christian Dior et ses successeurs, dessinant une allure nouvelle, empreinte d’une audace revisitée plus encore par les images fantasmagoriques de Katerina Jebb. De ses portraits scanographiques, étrangement semblables aux portraits peints de la Renaissance, émane une extraordinaire opulence qui contraste avec le procédé même de leur création.

Escarpin Versailles, 1960

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