Bienvenue à la Galerie Dior !
L'application en ligne vous permet d'approfondir votre visite et de découvrir des contenus exclusifs.
Le 12 février 1947, à Paris, l’incontournable tailleur Bar, reconnaissable à l’extrême finesse de sa taille embrassée, à ses épaules douces, ses basques au galbe accentué et sa jupe évasée, défile pour la première fois et devient le symbole du New Look.
Le style Dior est né et affirme le désir de Christian Dior de rendre les femmes « non seulement plus belles, mais plus heureuses ». Ses croquis révèlent autant qu’ils soulignent les courbes féminines : toute création est pensée pour sublimer le corps en mouvement. Les lignes baptisées En 8, Corolle, Envol, Verticale, Oblique, Tulipe, Muguet, Y ou encore Flèche, incarnent ainsi l’allure Dior, une élégance moderne, atemporelle.
« Une robe telle que je la conçois est une architecture éphémère destinée à exalter les proportions du corps féminin. »
Une passion inventive perpétuée par les successeurs du couturier-fondateur et, aujourd’hui, par l’œil singulier de l’artiste Katerina Jebb qui signe sept portraits scanographiques. De ces images magnétiques, qui mettent en lumière la physicalité même du modèle, se dégage une étrange poésie.
Le 12 février 1947, à Paris, l’incontournable tailleur Bar, reconnaissable à l’extrême finesse de sa taille embrassée, à ses épaules douces, ses basques au galbe accentué et sa jupe évasée, défile pour la première fois et devient le symbole du New Look.
Le style Dior est né et affirme le désir de Christian Dior de rendre les femmes « non seulement plus belles, mais plus heureuses ». Ses croquis révèlent autant qu’ils soulignent les courbes féminines : toute création est pensée pour sublimer le corps en mouvement. Les lignes baptisées En 8, Corolle, Envol, Verticale, Oblique, Tulipe, Muguet, Y ou encore Flèche, incarnent ainsi l’allure Dior, une élégance moderne, atemporelle.
« Une robe telle que je la conçois est une architecture éphémère destinée à exalter les proportions du corps féminin. »
Une passion inventive perpétuée par les successeurs du couturier-fondateur et, aujourd’hui, par l’œil singulier de l’artiste Katerina Jebb qui signe sept portraits scanographiques. De ces images magnétiques, qui mettent en lumière la physicalité même du modèle, se dégage une étrange poésie.
