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Les affinités artistiques

Dès son plus jeune âge, Christian Dior se passionne pour les arts, puis noue des affinités profondes avec des peintres, musiciens, poètes, cinéastes, chorégraphes.

« Nous nous étions simplement réunis entre peintres, littérateurs, musiciens et décorateurs, sous l’égide de Jean Cocteau et de Max Jacob.»

À Paris, il passe nombre de ses soirées au Bœuf sur le Toit, cabaret légendaire que fréquentent artistes et intellectuels de l’époque. En 1928, loin des aspirations de ses parents, il ouvre une galerie avec Jacques Bonjean, puis une seconde, en 1931, avec Pierre Colle.

Christian Dior et Christian Bérard au marché aux puces, circa 1930.

© Collection musée Christian Dior, Granville

Devenu couturier, il lie sa fascination pour les arts à la mode et insuffle dans ses collections la magie de la musique, de la littérature ou encore de l’architecture, une démarche créative perpétuée par ses successeurs. Dans les années 1960, Marc Bohan rencontre Niki de Saint ÒPhalle avec qui il se lie d’amitié. Le couturier dessinera des modèles pour cette artiste à l’imaginaire foisonnant dont il collectionnera par ailleurs de nombreuses œuvres. Maria Grazia Chiuri est captivée elle aussi par l’univers singulier de Niki de Saint Phalle, une source d’inspiration majeure. Ainsi se dévoilent tour à tour les silhouettes Dior lui rendant hommage.

Prochaine salle

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Les ateliers
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Les affinités artistiques

Dès son plus jeune âge, Christian Dior se passionne pour les arts, puis noue des affinités profondes avec des peintres, musiciens, poètes, cinéastes, chorégraphes.

« Nous nous étions simplement réunis entre peintres, littérateurs, musiciens et décorateurs, sous l’égide de Jean Cocteau et de Max Jacob.»

À Paris, il passe nombre de ses soirées au Bœuf sur le Toit, cabaret légendaire que fréquentent artistes et intellectuels de l’époque. En 1928, loin des aspirations de ses parents, il ouvre une galerie avec Jacques Bonjean, puis une seconde, en 1931, avec Pierre Colle.

Christian Dior et Christian Bérard au marché aux puces, circa 1930.

© Collection musée Christian Dior, Granville

Devenu couturier, il lie sa fascination pour les arts à la mode et insuffle dans ses collections la magie de la musique, de la littérature ou encore de l’architecture, une démarche créative perpétuée par ses successeurs. Dans les années 1960, Marc Bohan rencontre Niki de Saint ÒPhalle avec qui il se lie d’amitié. Le couturier dessinera des modèles pour cette artiste à l’imaginaire foisonnant dont il collectionnera par ailleurs de nombreuses œuvres. Maria Grazia Chiuri est captivée elle aussi par l’univers singulier de Niki de Saint Phalle, une source d’inspiration majeure. Ainsi se dévoilent tour à tour les silhouettes Dior lui rendant hommage.

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